[ venez les petits gens !!]
Ayumi marchait doucement, elle regardait ses pieds puis le ciel puis ses pieds et encore le ciel, elle n' arrivai pas à détacher on regard de ce ciel si noire où seule une lune pleine éclairait. Ayumi avait dans sa main gauche,une lanterne omme celle que l' on prend pour les grandes fêtes. la lanterne lui servait d' éclairage, dans la main gauche, elle avait une rose. Cette rose, elle l' avait cueilli sur le chemin, elle l' avait trouvé si belle.
Le temps n' était pourtant pas à la promenade, il faisait nuit noire et seule la lumière enchanterresse de la pleine lune éclairait pâlement le lac. Une douce brise froide souffflait en permanance et faisait s' envoler les cheveux d' or de la magnifique demoiselle. Elle était habillé d' une longue robe rouge moulante, d' un grand manteau noire et d' une paire de ballerines. Elle avait attaché un petit ruban rouge derrière sa tête.
La demoiselle arrivé au lac, s' assit en face de l' eau. D' une main, elle balaya la surface. elle posa la lanterne à côté d' elle et regarda l' étendue d' eau.
Elle ferma ses beaux yeux bleus et commença à chanter. Sa voix mélodieuse et enchanterresse vint bercé la brise qui soufflait. Le froid qui l' entourait semblait prendre chaleur. Tout devenait beau au doux son de sa voix. Sa voix résonné, elle était si belle que même Ayumi était bercé par sa propre chanson. pourtant les paroles étaient triste, bien triste, elle racontait un peu son histoire. Elle parlait de sa mère, elle chantait la souffrance de cette femme tué par son propre mari mais si subtilement, qu' on aurait dit qu' elle parlait de la voix de sa mère tout en ne pas pécisant que c' était sa mère. Tout en continuant de chanter, elle s' alongea sur l' herbes froides et ferma les yeux. Au son de sa voix et aux paroles de sa chanson, ses souvenirs reprenaient vie. Elle vit des scènes terribles comme quand son père battait sa mère et que le sang restait sur le sol. Le lendemain, sa mère se mettait alors à nettoyer et elle souriait à Ayumi en disant: " Je ne veux pas que nous vivions dans une maison sale..." . Mais elle voyait aussi d' autres moments heureux comme ces jours où sa mère jouait du piano et qu' elle se mettait à chanter.